Premier soir à Punta Chueca, dans le désert de Sonora, chez les Seris ( le peuple des sables).

On est sur la plage " el paraiso" en face de l'île aux requins ( la isla de tiburon ).

Pancho chante jusqu'à ce que la nuit tombe, nager dans une eau brûlante avec les manta raya, les crabes violets, dessiner sur le sable et danser sur l'eau.

magique magique.

Nuit passée sur le toit de Pancho, avec une vue à 360 dégres sur la voie lactée, les chaînes de montagnes de l'île et du désert. (heu... et quelques dizaines de chiens errants à moitié bornes et boiteux... :-S)

et la mystérieuse isla de tiburon ...

On passera la nuit sur l'île avec nos chers amis les serpents à sonnettes, les scorpions, les araignées sauteuses, les coyottes, la horde de chiens errant, l'invasion des milliers de cloportes-asticots sur la plage, les requins, les raies tueuses, la tempête, heuuu stop...c'est déjà pas mal,

au petit matin, en vie ( ouiiiiii) , on vient nous rechercher ( ouf- bon j'avais emporté deux sacs de ballons gonflables pour faire un radeau de fortune au cas où il nous oublie ici :-) ) , petite explication récompense des plantes médicinales de l'île par notre sauveur, et c'était fort sympathique...

cactus et albatros

et apres midi travaux manuels à guadalajara

hola los amigos !!!

pas beaucoup de post ce mois ci, je suis encore au mexique mais tres bientot (debut octobre) pleins de dessins du voyage mais surtout de la mysterieuse isla de tiburon ( l' ile aux requins, l íle des konkaak), avec le peuple des seris los seris, le desert de sonora et autres aventures musiciennes, a tres viteeee

rôle de Tara, pour "la Mirador", moyen-métrage de Lidia Terki (2004)

LA MIRADOR 35mm/47'/2004 from Lidia Terki on Vimeo.

LA MIRADOR 2 (47'/2004) from Lidia Terki on Vimeo.

Written, directed, co-pro by Lidia Terki

"Lidia terki's striking film shows a burgeoning talent clearly above the norm. La Mirador is the story of a teenage girl, Tara, who is inseparable from her older brother, until the proverbial summer that changes everything. Daniel takes up with moody, so-hip-it-hurts Marie, leaving Tara on the outside. Then Tara discovers that her brother has got into drugs in a big way. Telling her story sparingly and incisively, La Mirador benefits from powerful, low-key performances, especially by the expressive, sharp-featured Elsa Mroziewicz as the vulnerable but defiant heroine."
Jonathan Romney, BFI

Voilà quelques dessins ( peu nombreux) durant mon stage en résidence Au 104 pour la SculpturOpéra "Cupidon, Propriétaire de l’Immeuble situé sur l’Enfer et le Paradis" de Gilbert Peyre ce mois de juillet, vraiment une super équipe et une bonne ambiance ! Les sculptures de Gilbert sont étonnantes poétiques et grinçantes voir sur son site : http://www.gilbert-peyre.com/

Pendant ce mois, entre autres, aider Morgane la costumière et José Le vikonte à refaire le tablier en Guimauve et scripte avec Gilbert Peyre pour noter les changements du nouveaux scénario, noter ce qui va pas, ce qu'il faut pas oublier etcetera :)

Le spectacle va encore ce jouer à FIDENA en Allemagne en Septembre, pour le Bochum 2010 - Der Festspielplatz RUHR.

N'hésitez pas ! :)

 Cupidon, Propriétaire de l’Immeuble situé sur l’Enfer et le Paradis
sculpturOpéra de Gilbert Peyre
Résidence au CENTQUATRE 

Conception, sculptures, mise en scène et scénographie : Gilbert Peyre

Comédien : Jean-Yves Tual (Cupidon) ;
Comédiennes : Corinne Martin (La Mariée) ; Morgane Olivier (La Gouvernante)
Soprano : Lydie Morales
Voix : Achille Orsoni, Corinne Martin, Gwénola de Luze, Olga Nikolaeva
Texte : Yves Garnier et divers textes d’après Le Cantique des cantiques
Musique: “Mes béatitudes” (extraits) de Gérard Pesson ; “Mi par d’udir ancora” d’Enrico Caruso ; “Temps arrêté” de Raphaël Beau
Conseiller technicien, assistant scénographie : Vikonte de Bartholin
Ingénieur électronicien : Robert Breton
Electronicien :Marc Gaide
Ingénieur du son : Fabien Caron
Mise en lumière : Flore Marvaud
Costumes : Morgane Olivier
Manipulateurs console : Marc Gaide, Juliette Zanon
Photographe : Suzane Brun
Participants construction : Anne Pinguet, Virginie Chevrier, Claude Orsoni
Techniciens montage : Yann Lelarge, Claude Cottet
Traduction anglaise : Nelly Orsoni
Stagiaire : Elsa Mroziewicz

Production Compagnie P.P. DREAM/Laurence Alfieri
Coproduction Achille Orsoni – LE CENTQUATRE

Dessins dans le bus de L'Altertour ( ça bouge sur la route un peu dur d'avoir le trait net :-) )

vidéo réalisée pour le cours de didactique visuelle,

Il fallait faire un objet gygogne permettant de montrer les différentes évolution d'un objet.

Voilà donc l'évolution des ballons dirigeables !

Le jocker & Poison Ivy

Setunsa city, ou La civilisation des sables, 

projet  de livre en cours sur des cirques nomades à travers le désert. ( en gravure)

Le petit texte du début :

Qui n’a donc jamais songé à un monde idyllique ? 

Celui de tous les désirs, des plus simples aux plus fous, celui où les rêves, voeux et souhaits prennent forme. 

Ce monde, chacun se l’ait mémoré un jour ou l’autre, à sa manière. Il se forge selon les êtres. Excentrique, là où les envies se matérialisent où nous aurions des baobabs à la place des cheveux, des pieds palmés pour mieux nager; Abstrait où nous serions éternels, mais encore où nous ne serions que des énergies, des regards, des idées, la pensée de quelqu’un d’autre, des mouettes, des sauterelles, une coquille d’oeuf, des bactéries, une montre, des peintures, des pierres, des choses que le cerveau humain ne peut imaginer, ou quelque chose d’inconnu, peut être même qui n’existe pas encore, où nous changerions de corps quand bon nous semble à moins que nous n’en ayons pas; Pourquoi pas un monde où l’on resterait toujours enfant, sans âge, un autre où l’on vieillirait jusqu’à devenir ridé comme une écorce et à se transformer en arbre, où l’on vivrait toutes les vies possibles jusqu’à la nuit des temps, où à peine mort on naîtrait à nouveau, encore un autre où l’on serait phosphorescent et par la pensée retournerions du passé au futur et du futur au présent. 

Et puis un autre où l’on ne serait qu’un microbe sur une dent mal lavée d’un extraterrestre qui serait également une des cellules d’une plante carnivore violette inventée par un écrivain mal réveillé, lui-même imaginé par un rat coincé dans une cage, sur le point de mourir, éventré vivant par un scientifique sans scrupule. 

Réinventer le monde afin de le rendre différent est une occupation ... Vieille comme le monde.

C’’est pourquoi je vous propose ce carnet de voyage. 

Ce monde n’est pas fini. 

Les modes de vies y changent sans cesse, les événements météorologiques se chamboulent du jour au lendemain, et il suffit qu’un lecteur pense que ce monde pourrait être quelque peu différent, pour qu’il s’élargisse.

Les saisons s’intervertissent, ce monde est traître, manipulé par le hasard. Tout y change tout le temps.

Mais comme dans ce monde-ci n’est ce pas ? Tout change à chaque instant, les pensées des gens, les envies, les cellules qui meurent, les personnalités qui évoluent, les traits du visages, les rêves...

Alors je vous emmène en voyage dans un monde évolutif aux nuits végétales et aux acrobaties cheuveluresques.

Tout se passe au coeur de l’antarctique, au pays des setunsas, où un mystère climatique a fait naître un désert de sable au milieu des terres gelées. 

Le chapiteau de cirque

Puis la suite dans la gazette n°2 :

bd 3, On est jamais Seul :